Salon du livre de Paris

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Cette année, notre maison d’édition sera présente sur le stand Nouvelle Aquitaine au Salon du livre de Paris.

L’occasion de faire connaître notre structure et nos auteurs et d’officialiser notre implantation durable dans le Sud-Ouest.

Après deux années d’existence, Terres de l’Ouest prend tranquillement son rythme de croisière. Avec une douzaine de titres à paraître en 2018, et une distribution de plus en plus efficace sur le réseau régional, nous entendons nous placer comme acteur essentiel dans l’édition régionale de romans en Nouvelle Aquitaine.

Pour cette première aventure parisienne, deux auteurs seront présents sur notre stand. Marie-Claude Aristégui, Journaliste à Sud-Ouest, et auteur de “Ossau la vallée du mensonge”, et Eric Castaignède, auteur de “Les hauts murs”. Deux romans qui rencontrent un joli succès et des retours très positifs de la part des lecteurs.

Venez les découvrir à Paris. Notre stand F47, Nouvelle Aquitaine saura vous recevoir dans les meilleures conditions.

 

Signatures du Week-end

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En gironde tout d’abord, ce samedi, c’était Eric Castaignède qui signait son livre à la librairie le 45e parallèle à Pessac, la ville de résidence de l’auteur.

De très belles rencontres et une réception magnifique de la part des libraires. L’auteur était enchanté. Une vingtaine de livres vendus au total, un bon cru donc, et de nouveaux lecteurs qui n’en doutons pas, serons séduits par ce joli roman.

Vendredi dernier, c’était au tour de Marie-Claude Aristégui, présente deux jours à Pau d’assurer la promotion de son roman : Ossau, la vallée du mensonge.

Une journée à Cultura Lescar marquée par une rupture de stock dès 16h00. Dommage que Cultura n’ait pas eu la présence d’esprit de consulter les ventes de ces 10 derniers jours, puisque 20 exemplaires avaient été vendus dans ce laps de temps, si bien que lorsque nous sommes arrivés, il ne restait que 16 livres. Bien qu’ayant rajouté 8 livres présents dans la voiture, avec 24 livres nous n’avons pu tenir que jusqu’à 16h. C’est dire l’intérêt des Palois pour leur région et la réussite du livre dans son ensemble !

Puis Samedi donc, c’était au tour de Leclerc Pau de recevoir l’auteur de Ossau la vallée du mensonge.

La seconde librairie de par sa surface en Région Aquitaine. C’est pas moi qui le dis, c’est la directrice de la librairie ! Oui, puisque je vous dis que c’est une librairie. Et en effet, rien à voir avec une grande surface, l’espace culturel dédié aux livres est immense, bien aménagé, organisé par univers, une belle librairie qui donne envie de flâner à la recherche DU livre.

Et des conseillers de vente en pagaille, jamais vu autant de personnel dans une librairie ! Des conseillers toujours à la disposition des clients. Dommage qu’aucune d’entre elles n’ait pensé à dire aux lecteurs potentiels de polars que notre auteure présentait un roman juste à côté.

Au final, une bonne signature tout de même, puisque Marie Claude a vendu 20 livres et que j’ai pu conseiller quelques autres livres de la maison d’édition, à des lecteurs très sympathiques.

Un bon cru somme toute, et maintenant, nous voilà tournés vers Paris et son salon du livre, qui arrive à grandes enjambées.

Moins de 15 jours avant le début des hostilités.

Jaune sang (aveux d’un exilé espagnol) …. de Nicolas Chel

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L’histoire

tdo livre chel rouge sangJulien Parois, ancien républicain espagnol et résistant sous l’Occupation, le sait intimement, il vit là ses dernières heures. Et bien que sa vie fut pleine de rebondissements, celui qui en 1939 en Espagne s’appelait encore Joaquin Palanques, porte en lui comme un fardeau, un profond regret.


Conscient de l’imminence de sa mort, il n’a plus de temps à perdre et se décide à écrire. Son témoignage prend alors la forme d’un étrange dialogue. À qui Julien s’adresse-t-il dans ce récit ? De quel drame atroce se sent-il responsable ?


Jaune Sang nous conduit de l’Andalousie franquiste aux rives de l’Algérie française, puis à Barcelone aux côtés de militants républicains, et dans le sud-ouest de la France


Notre avis

Ce roman coup de poing au cœur de la guerre civile espagnole, éclaire ce sinistre épisode de l’intérieur. Une histoire d’amitié, d’amour, d’espoir, de lâchetés, de trahisons. Pile, la vie. Face, la mort. Le jeu du chat et de la souris pour continuer le combat, debout. Pour vivre debout, malgré les horreurs d’un conflit fratricide. La guerre n’est jamais belle, mais cette histoire, oui.

A mettre entre les mains de vos ados, aussi…


IB Pratic : Jaune sang de Nicolas Chel. Eidtions Terres de l’Ouest. 140 pages. 9 €. En vente en librairie ou à commander chez l’éditeur, ici.

Deux romans d’auteurs régionaux à découvrir…

Le Pessacais Eric Castaignède vient de publier son premier roman, “Les Hauts murs”.

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Terres de l’Ouest, son éditeur (un homme charmant au demeurant), le compare à Pierre Lemaitre, prix Goncourt pour “Au revoir là haut”

Augustin Magnin, ancien poilu et peintre renommé d’entre les deux guerres est retrouvé assassiné dans le Médoc, empalé sur un monument aux morts. Pourquoi, comment… un de ses voisins mène l’enquête. Le passé est forcément sombre.

L’auteur de ce roman, Eric Castaignède, est originaire de Haute-Lande et vit à Pessac.

“Les Hauts murs” est son premier roman. Terres de l’Ouest, son éditeur, n’hésite pas à la comparer à “Au revoir là-haut”, roman de Pierre Lemaitre, prix Goncourt 2013.

L’auteur, sexagénaire, qui bosse au service informatique des services financiers de la Banque postale, n’assume pas la comparaison. Il a raison.

Il n’en demeure pas moins qu’il écrit bien cette histoire qui mêle passé et présent, horreur des tranchées et quiétude médocaine, témérité et lâcheté, et qui raconte les hommes avec ce qu’ils ont de bon et de mauvais, de meilleur et de pire.

Renseignements sur eric-castaignede.com ou sur terresdelouest-editions.fr 

L’article papier complet devrait paraître dans le journal prochainement.

PS : Petite précision de l’éditeur en question, moi bien sûr :

Dans la veine de “Au revoir la-haut”, ne signifie pas que l’auteur, qui par ailleurs, publie seulement son premier roman, écrive aussi bien que Pierre Lemaître. La comparaison n’a lieu d’être, mais il se trouve que j’avais lu “au-revoir là-haut” quelques semaines auparavant et que j’y ai trouvé quelques similitudes dans la manière un peu décalée de raconter cette histoire.