Terres de l’Ouest, son éditeur (un homme charmant au demeurant), le compare à Pierre Lemaitre, prix Goncourt pour « Au revoir là haut »
Augustin Magnin, ancien poilu et peintre renommé d’entre les deux guerres est retrouvé assassiné dans le Médoc, empalé sur un monument aux morts. Pourquoi, comment… un de ses voisins mène l’enquête. Le passé est forcément sombre.
L’auteur de ce roman, Eric Castaignède, est originaire de Haute-Lande et vit à Pessac.
L’auteur, sexagénaire, qui bosse au service informatique des services financiers de la Banque postale, n’assume pas la comparaison. Il a raison.
Il n’en demeure pas moins qu’il écrit bien cette histoire qui mêle passé et présent, horreur des tranchées et quiétude médocaine, témérité et lâcheté, et qui raconte les hommes avec ce qu’ils ont de bon et de mauvais, de meilleur et de pire.
Renseignements sur eric-castaignede.com ou sur terresdelouest-editions.fr
L’article papier complet devrait paraître dans le journal prochainement.
PS : Petite précision de l’éditeur en question, moi bien sûr :
Dans la veine de « Au revoir la-haut », ne signifie pas que l’auteur, qui par ailleurs, publie seulement son premier roman, écrive aussi bien que Pierre Lemaître. La comparaison n’a lieu d’être, mais il se trouve que j’avais lu « au-revoir là-haut » quelques semaines auparavant et que j’y ai trouvé quelques similitudes dans la manière un peu décalée de raconter cette histoire.