De retour à Livres papier

Anne enfant de la Grande Lande

20,00

De Philippe Sentucq

Août 1914 : le tocsin sonne, le canon tonne, c’est la guerre ! Les hommes, mobilisés, abandonnent champs et forêt pour partir au front. Beaucoup ne reviendront jamais.
Les années suivantes apportent leur lot de mauvaises nouvelles. Anne est alors confrontée à des épreuves tragiques et inattendues qui blessent profondément son âme. Elle ne peut rester les bras croisés. Dès 1917, elle s’engage à sa manière, comme infirmière, sur le front avec le secret espoir de pouvoir retrouver un peu de ceux qu’elle aime.

296 en stock

UGS : 9791097150150 Catégorie :

Description

Au cours du XIXe siècle, l’immense forêt de pins maritimes des Landes de Gascogne se substitue aux landes désertiques d’antan. C’est l’œuvre du labeur acharné et de l’ingéniosité des habitants du pays.
Anne, née en 1898, et ses amis de jeunesse grandissent et s’épanouissent dans cet environnement paisible, chaleureux et entreprenant. Son cœur brûle pour Joanis, et réciproquement.
Août 1914 : le tocsin sonne, le canon tonne, c’est la guerre ! Les hommes, mobilisés, abandonnent champs et forêt pour partir au front. Beaucoup ne reviendront jamais.
Les années suivantes apportent leur lot de mauvaises nouvelles. Anne est alors confrontée à des épreuves tragiques et inattendues qui blessent profondément son âme. Elle ne peut rester les bras croisés. Dès 1917, elle s’engage à sa manière, comme infirmière, sur le front avec le secret espoir de pouvoir retrouver un peu de ceux qu’elle aime.
Un roman bouleversant qui décrit à la fois la vie à l’arrière, mais relate aussi, sans filtre, les conditions de vie réelles des poilus dans les tranchées.

ISBN: 979-10-97150-15-0 – Prix 20€

Format : 14×22,5 cm

424 pages

Informations complémentaires

Poids 450 g
Dimensions 3,2 × 14,5 × 22 cm

1 avis pour Anne enfant de la Grande Lande

  1. admin

    Je suis vraiment abasourdi par la qualité de cet ouvrage. Je me suis laissé embarquer et n’ai pas pu le lâcher à partir du moment où je l’ai ouvert. Vraiment, chapeau !
    Tout d’abord je vais vous parler de la forme.
    J’ai découvert une écriture limpide, souple, agréable à lire. Des descriptions, des images, des commentaires, des réflexions pleins de couleur, de justesse.
    Vous avez, entre autres, décrit la forêt des Landes, VOTRE forêt, avec une minutie et des mots qui font rêver. On a l’impression que d’y pénètrer. Tout comme un peintre il s’agissait de rapporter les couleurs, les senteurs, les ombres et les lumières, et vous l’avez fait remarquablement.
    Ensuite il y a les différents personnages du roman. Ici encore, une belle justesse descriptive. On aurait vraiment envie de rencontrer Anne, Juliette, Joanis, Henri, Laurent, et tous les autres. Ils sont palpables et riches.
    Une seule réserve, relative à quelque chose qui m’a dérangé, c’est cette présence trop forte à mon goût de la religion. Mais sans doute le monde était-il lui même à l’époque bien plus religieux que le nôtre actuel.
    Mais j’espère que cette remarque « négative » viendra en tout état de cause crédibiliser les remarques « positives »
    Car ce récit m’a enthousiasmé.
    J’en viens justement au fond :
    J’ai vraiment été soufflé par l’immense connaissance que vous avez de ces événements dramatiques. J’imagine que vos six années de recherche ont été mises à profit, mais quelle somme de travail ! Cette histoire captivante, où une alternance très agréable permet de passer de l’analyse de cette grande guerre destructrice de tant de vies et de certitudes, à l’analyse des comportements de toutes ces familles, héroïques, patriotes, courageuses, est remarquable.
    Vous permettez au lecteur de s’approprier ou de se créer des pensées profondes sur la nature humaine, sur l’incapacité des dirigeants (politiques et militaires) à relever le nez de leur guidon, ambitieux, pour prendre un peu de hauteur et regarder le peuple, droit dans les yeux, pour dire : Où allons nous ? Où voulez-vous aller ?
    La publication de ce livre en cette période, même si elle est imprévue, obtiendra, j’espère, de la part des commentateurs un beau succès.
    Une nouvelle fois, je suis admiratif devant cette œuvre.

Ajouter un Avis